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jeudi 25 avril 2019

Bigflo & Oli - Plus tard

Scène du clip



Paroles :

Bigflo et Oli
Tu connais non ?

Quand j'étais petit je pensais qu'en louchant trop je pouvais me bloquer les yeux
Que les cils sur mes joues avaient le pouvoir d'exaucer les vœux
Quand j'étais petit je pensais que les adultes disaient toujours vrai
Et la nuit dans la voiture je pensais que la lune me suivait

Mais depuis qu'est-ce qui a changé ? Pas grand chose
Je n'ai pas rangé les questions que je me pose
Qu'est-ce qui a changé ? Pas grand chose
Je n'ai pas rangé les questions que je me pose

On me disait tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Mais on est plus tard et je comprends pas
Tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Mais on est plus tard et je comprends pas


[Oli] 

Quand j'étais petit, j'entendais un monstre qui vivait sous ma maison
Je pensais mourir dans la lave si je [ne] marchais pas sur le passage piéton
Qu'à l'époque des photos en noir et blanc les gens vivaient sans couleur
J'étais sûr qu'un bisou de ma mère pouvait soigner la douleur

Mais depuis qu'est-ce qui a changé ? Pas grand chose
Je n'ai pas rangé les questions que je me pose
Qu'est-ce qui a changé ? Pas grand chose
Je n'ai pas rangé les questions que je me pose

On m'disait tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Mais on est plus tard et je comprends pas
Tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Mais on est plus tard et je comprends pas


[Bigflo et Oli] 

Aujourd'hui, en grattant un ticket je me vois millionnaire
Je me dis tout ira mieux si je souris à la banquière
Aujourd'hui, je me dis que si j'attends quelqu'un fera ma vaisselle
Et que même si je vieillis mes parents sont immortels

Qu'est-ce qui a changé ? Pas grand chose
Je n'ai pas rangé les questions que je me pose
Qu'est-ce qui a changé ? Pas grand chose
Je n'ai pas rangé les questions que je me pose
On me disait tu comprendras plus tard

Tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Mais on est plus tard et je comprends pas
Tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Tu comprendras plus tard
Mais on est plus tard et je comprends pas

Plus tard, plus tard, plus tard, plus tard, plus tard, plus tard
Plus tard, plus tard, plus tard, plus tard, plus tard, plus tard
Plus tard, plus tard, plus tard, plus tard

" Tout va bien " de Orelsan

Scène du clip.



Paroles :

Dors, dors 

Si le monsieur dort dehors, c’est qu’il aime le bruit des voitures
S’il s’amuse à faire le mort, c’est qu’il joue avec les statues
Et si un jour il a disparu, c’est qu’il est devenu millionnaire
C’est qu’il est sûrement sur une île avec un palmier dans sa bière

Tout va bien, tout va bien,
Petit, tout va bien

Si la voisine crie très fort, c’est qu’elle a pas bien entendu
Si elle a du bleu sur le corps, c’est qu’elle a joué dans la peinture
Et si un jour elle a disparu, c’est qu’elle est partie en lune de miel
En attendant les jours de pluie, elle met ses lunettes de soleil
Tout va bien, tout va bien
Petit, tout va bien 

Si les hommes se tirent dessus, c’est qu’il y a des vaccins dans les balles
Et si les bâtiments explosent c’est pour fabriquer des étoiles
Et si un jour ils ont disparu, c’est qu’ils s’amusaient tellement bien
Ils sont tous partis loin faire une ronde, tous en treillis main dans la main 

Tout va bien, tout va bien
Petit tout va bien

Dors, dors



Traduction libre / tradução livre de Priscila Junglos


Durma, durma

Se o senhor dorme do lado de fora, é porque ele ama o barulho dos carros
Se ele se diverte a se fazer de morto, é porque ele brinca com as estatuas
E se um dia ele desapareceu, é porque ele virou milionário
É porque ele está certamente numa ilha com um coqueiro em sua cerveja

Tá tudo bem, tá tudo bem
Pequeno, tá tudo bem

Se a vizinha grita muito alto, é porque ela não ouviu bem
Se ela tem roxos no corpo, é porque ela brincou na tinta
E se um dia ela desapareceu,  é porque ela partiu em lua de mel
Esperando os dias de chuva, ela coloca seus óculos de sol

Tá tudo bem, tá tudo bem
Pequeno, tá tudo bem

Se os homem atiram neles mesmo, é porque tem vacinas nas balas
E se os prédios explodem é para fabricar estrelas
E se um dia eles desapareceram, é porque eles se divertiam tão bem
[que] eles todos partiram londe para fazer uma ronda, todos com roupa de camuflagem de mãos dadas

Tá tudo bem, tá tudo bem
Pequeno, tá tudo bem

Durma, durma


jeudi 4 avril 2019

Alain Bashung - Résidents De La République

Né le 1er décembre 1947, Alain Bashung décède le 14 mars 2009.



Paroles :

[j'sais pas]

Un jour je t'aimerai moins
Jusqu'au jour où je ne t'aimerai plus
Un jour je sourirai moins
Jusqu'au jour où je ne sourirai plus
Un jour je parlerai moins
Jusqu'au jour où je ne parlerai plus
Un jour je courirai [courrai]* moins
Jusqu'au jour où je ne courirai [courrai]* plus

Hier on se regardait à peine
C'est à peine si on se penchait
Aujourd'hui nos regards sont suspendus
Résidents, résidents de la République
Où le rose a des reflets bleus
Résidents, résidents de la République
Des atomes, fais ce que tu veux !

[j'sais pas]

Un jour je te parlerai moins
Peut-être le jour où tu ne me parleras plus
Un jour je voguerai moins
Peut-être le jour où la terre s'entrouvrira
Hier on se regardait à peine
C'est à peine si on se penchait
Aujourd'hui nos regards sont suspendus
Résidents, résidents de la république
Où le rose a des reflets bleus
Résidents, résidents de la République
Chérie, des atomes, fais ce que tu veux !

Paroliers : Gaetan Roussel

Tradução livre / traduction libre de Priscila Junglos


Letra:

[sei lá]

Um dia eu te amarei menos
Até o dia em que eu não te amarei mais
Um dia eu sorrirei menos
Até o dia em que eu não sorrirei mais
Um dia eu falarei menos
Até o dia em que eu não falarei mais
Um dia eu correrei menos
Até o dia em que eu não correrei mais

Ontem a gente mal se olhava
A gente se curvava um tiquinho só
Hoje nossos olhares estão suspensos
Residentes, residentes da República
Onde o rosa tem reflexos azuis
Residentes, residentes da República
[com os] Atomos, faça o que você quiser !

[sei lá]

Um dia eu te falarei menos
Talvez no dia em que você não falará mais comigo
Um dia eu vagarei menos
Talvez no dia em que a terra se abrirá
Ontem a gente mal se olhava
A gente se curvava um tiquinho só
Hoje nossos olhares estão suspensos
Residentes, residentes da República
Onde o rosa tem reflexos azuis
Residentes, residentes da República
Querida, [com os] Atomos, faça o que você quiser !



Nota da tradutora:

* O verbo "Courir" no futuro é "je courrai" (2 "r" e sem "i"), porém Bashung canta errado de propósito, como se esse verbo fosse regular, erro, aliás, muito comum entre os franceses, nos verbos "mourir" e courir", por exemplo; ele canta "je courirai" em vez do correto "je courrai".