Non, je n'y ai jamais cru Je t'ai vue dans les revues. Et j'ai tout relu Les messages, les entrevues Mais ce soir, où es-tu ? Tu chantes en noir Tes sombres histoires
Ces rendez-vous manqués Dans la nuit.
Non, je n'y ai jamais cru Je t'ai vue dans les revues. Et ce soir, où es-tu ? Tu chantes en noir Tes sombres histoires Et je passe en revue Tous ces regards On ne s'est pas menti On s'est pas tout dit, c'est tout
Ces rendez-vous manqués Dans la nuit
Et derrière les lumières On s'offre des derniers verres.
Traduction libre / tradução livre de Priscila Junglos
Não, eu nunca acreditei nisso Eu te vi nas revistas. E eu reli tudo Mensagens, entrevistas Mas essa noite, onde você está? Você canta de preto Suas histórias sombrias Esses encontros perdidos Na noite.
Não, eu nunca acreditei nisso Eu te vi nas revistas. E essa noite, onde você está? Você canta de preto Suas histórias sombrias E eu relembro Todos esses olhares A gente não se mentiu A gente não se contou tudo, é tudo Esses encontros perdidos Na noite.
E atrás das luzes A gente bebe nossos últimos drinks.
Image du livre "Der naturen bloeme" de Jacob van Maerlan.
Paroles
J'ai peur du loup, encore peur du vide J'ai peur, j'avoue, d'être un peu fragile Mais j'aime bien J'aime bien Être un peu voyou quelquefois Par-dessus tout être toi et moi J'aime bien J'aime bien Déchirer quelques lignes, faire des boules de papier M'adapter, accepter Mais j'aime pas le mot doux
J'ai peur du loup, parfois peur des rides J'ai peur, j'avoue, de perdre ma voix lead Mais j'aime bien J'aime bien Être sans un sou quelquefois Par-dessus tout être toi et moi J'aime bien
J'aime bien Déchirer quelques lignes, faire des boules de papier Dans les moments intimes, ne plus t'entendre parler Déverser du liquide, sur ton corps, tout sur toi Varier les plaisirs deux fois sur trois M'allonger en hiver sur un lac gelé M'adapter, accepter Mais j'aime pas le mot doux
J'ai peur du loup, encore peur du vide J'ai peur, j'avoue, être un peu fragile Mais j'aime bien J'aime bien Déchirer quelques lignes, faire des boules de papier M'adapter, accepter Mais j'aime pas le mot "doute"
Traduction libre de / tradução livre de Priscila Junglos
Tenho medo do lobo, ainda tenho medo de altura[vazio]* Tenho medo, admito, de ser um pouco frágil Mas eu até que gosto de Eu até gosto de
De ser um pouco pilantra, às vezes Acima de tudo, ser você e eu Eu até que gosto de Eu até que gosto de Rasgar algumas linhas, fazer bolinhas de papel Me adaptar, aceitar Mas eu não gosto da palavra doce
Tenho medo do lobo, às vezes [tenho] medo das rugas Tenho medo, admito, de perder minha voz de cantor principal Mas eu até que gosto de Eu até que gosto de
Estar sem um tostão, às vezes Acima de tudo, de ser você e eu Em momentos íntimos, não mais ouvir você falar Derramar líquido, por todo o seu corpo, tudo sobre você Variar os prazeres duas vezes a cada três Me deitar no inverno num lago gelado Me adaptar, aceitar Mas eu não gosto da palavra doce
Tenho medo do lobo, ainda tenho medo de altura Tenho medo, admito, de ser um pouco frágil Mas eu até que gosto de Eu até que gosto de
Rasgar algumas linhas, fazer bolinhas de papel Me adaptar, aceitar Mas eu não gosto da palavra "dúvida"
* avoir peur du vide = literalmente "medo do vazio", também significa ter medo de altura. A palavra "vazio" dá uma outra dimensão para o sentimento, uma dimensão mais filosófica.
Madame rêve d'atomiseurs Et de cylindres si longs Qu'ils sont les seuls Qui la remplissent de bonheur Madame rêve d'artifices De formes oblongues Et de totems qui la punissent Rêve d'archipels De vagues perpétuelles Sismiques et sensuelles D'un amour qui la flingue D'une fusée qui l'épingle Au ciel Au ciel On est loin des amours de loin On est loin des amours de loin, on est loin madame rêve ad libitum Comme si s'était tout comme Dans les prières Qui emprisonnent et vous libèrent Madame rêve d'apesanteur Des heures, des heures de voltige à plusieurs Rêve de fougères De foudres et de guerres À faire et à refaire D'un amour qui la flingue D'une fusée qui l'épingle Au ciel Au ciel On est loin des amours de loin On est loin des amours de loin, on est loin Madame rêve Loin, au ciel (On est loin) madame rêve Au ciel Madame rêve
Traduction libre /tradução livre de Priscila Junglos
A Senhora sonha com atomizadores E com cilindros tão longos Que eles são os únicos Que a preenchem de felicidade A senhora sonha com [fogos de] artifícios Com formas oblongas E com totens que a punem Sonhos com arquipélagos Ondas perpétuas Sísmicas e sensuais Com um amor que a mate Com um foguete que a espete para o céu para o céu A gente está longe dos amores de longe A gente está longe dos amores de longe, a gente está longe A senhora sonha ad libitum Como se tudo fosse exatamente como nas preces Que aprisionam e te libertam A senhora sonha com a gravidade Com as horas, com as horas de acrobacias em grupo Sonho com samambaias Com raios e guerras Para fazer e refazer Com um amor que a mate Com um foguete que a espete para o céu para o céu
Les hommes qui passent, Maman, M'envoient toujours des cartes postales Des Bahamas, Maman,
Les hommes qui passent tout le temps Sont musiciens, artistes, peintres, trop comédiens Souvent
Les hommes qui passent, Maman, M'offrent toujours une jolie chambre Avec terrasse, Maman,
Les hommes qui passent, je sens Qu'ils ont le cœur à marrée basse, des envies d'océan Les hommes qui passent pourtant Qu'est-ce que j'aimerais en voler un Pour un mois, pour un an
Les hommes qui passent, Maman Ne me donnent jamais rien que de l'argent
Les hommes qui passent, Maman, Leurs nuits d'amour sont des étoiles Qui laissent des traces, Maman,
Les hommes qui passent, violents, Sont toujours ceux qui ont gardé Un cœur d'enfant perdant.
Les hommes qui passent pourtant Qu'est-ce que j'aimerais en voler un Pour un mois pour un an.
Les hommes qui passent, Maman, Ne me donnent jamais rien que de l'argent Les hommes qui passent, Maman, Ont des sourires qui sont un peu Comme des grimaces, Maman.
Les hommes qui passent, troublants, Me laissent toujours avec mes rêves Et mes angoisses d'avant.
Les hommes qui passent, pourtant, Qu'est-ce que j'aimerais en voler un pour un mois, pour un an Les hommes qui passent, Maman, Ne me donnent jamais rien que de l'argent.
Les hommes qui passent, Maman...
Traduction libre de / tradução livre de Priscila Junglos
Os homens que passam, mamãe, Sempre me enviam cartões postais Das Bahamas, mamãe.
Os homens que passam todo tempo São músicos, artistas, pintores e também atores Muitas vezes.
Os homens que passam, mamãe, Sempre me oferecem um lindo quarto Com terraço, mamãe.
Os homens que passam, entretanto, Como eu gostaria de roubar um Por um mês, por um ano.
Os homens que passam, mamãe, Nunca me dão nada além de dinheiro.
Os homens que passam, mamãe, Suas noites de amor são estrelas Que deixam rastros, mamãe.
Os homens que passam, violentos, São sempre aqueles que mantiveram O coração de uma criança perdedora.
Os homens que passam, entretanto, Como eu gostaria de roubar um Por um mês, por um ano.
Os homens que passam, mamãe, Nunca me dão nada além de dinheiro.
Os homens que passam, mamãe, Têm sorrisos um pouco Como caretas, mamãe.
Os homens que passam, perturbadores, Sempre me deixam com meus sonhos E minhas angústias de antes.
Os homens que passam, entretanto, Como eu gostaria de roubar um por um mês, por um ano.
Os homens que passam, mamãe, Nunca me dão nada além de dinheiro. Os homens que passam, mamãe...
Comme si je n'existais pas Elle est passée à côté de moi Sans un regard, reine de Saba J'ai dit Aïcha, prend, tout est pour toi
Voici les perles, les bijoux Aussi l'or autour de ton cou Les fruits bien mûrs au goût de miel Ma vie, Aïcha, si tu m'aimes
J'irai où ton souffle nous mènent Dans les pays d'ivoire et d'ébène J'effacerai tes larmes, tes peines Rien n'est trop beau pour une si belle, ooh
Aïcha, Aïcha, écoute-moi Aïcha, Aïcha, t'en vas pas Aïcha, Aïcha, regarde-moi, oh-oh Aïcha, Aïcha, réponds-moi
Je dirai les mots, les poèmes Je jouerai les musiques du ciel Je prendrai les rayons du soleil Pour éclairer tes yeux de reine, ooh
Aïcha, Aïcha, écoute-moi, oh Aïcha, Aïcha, t'en vas pas
Elle a dit " garde tes trésors Moi, je vaux mieux que tout ça Des barreaux sont des barreaux, même en or Je veux les mêmes droits que toi Et du respect pour chaque jour Moi, je ne veux que de l'amour "