Paroles
Les hommes qui passent, Maman,
M'envoient toujours des cartes postales
Des Bahamas, Maman,
Les hommes qui passent tout le temps
Sont musiciens, artistes, peintres, trop comédiens
Souvent
Les hommes qui passent, Maman,
M'offrent toujours une jolie chambre
Avec terrasse, Maman,
Les hommes qui passent, je sens
Qu'ils ont le cœur à marrée basse, des envies d'océan
Les hommes qui passent pourtant
Qu'est-ce que j'aimerais en voler un
Pour un mois, pour un an
Les hommes qui passent, Maman
Ne me donnent jamais rien que de l'argent
Les hommes qui passent, Maman,
Leurs nuits d'amour sont des étoiles
Qui laissent des traces, Maman,
Les hommes qui passent, violents,
Sont toujours ceux qui ont gardé
Un cœur d'enfant perdant.
Les hommes qui passent pourtant
Qu'est-ce que j'aimerais en voler un
Pour un mois pour un an.
Les hommes qui passent, Maman,
Ne me donnent jamais rien que de l'argent
Les hommes qui passent, Maman,
Ont des sourires qui sont un peu
Comme des grimaces, Maman.
Les hommes qui passent, troublants,
Me laissent toujours avec mes rêves
Et mes angoisses d'avant.
Les hommes qui passent, pourtant,
Qu'est-ce que j'aimerais en voler un pour un mois, pour un an
Les hommes qui passent, Maman,
Ne me donnent jamais rien que de l'argent.
Les hommes qui passent, Maman...
Traduction libre de / tradução livre de Priscila Junglos
Os homens que passam, mamãe,
Sempre me enviam cartões postais
Das Bahamas, mamãe.
Os homens que passam todo tempo
São músicos, artistas, pintores e também atores
Muitas vezes.
Os homens que passam, mamãe,
Sempre me oferecem um lindo quarto
Com terraço, mamãe.
Os homens que passam, entretanto,
Como eu gostaria de roubar um
Por um mês, por um ano.
Os homens que passam, mamãe,
Nunca me dão nada além de dinheiro.
Os homens que passam, mamãe,
Suas noites de amor são estrelas
Que deixam rastros, mamãe.
Os homens que passam, violentos,
São sempre aqueles que mantiveram
O coração de uma criança perdedora.
Os homens que passam, entretanto,
Como eu gostaria de roubar um
Por um mês, por um ano.
Os homens que passam, mamãe,
Nunca me dão nada além de dinheiro.
Os homens que passam, mamãe,
Têm sorrisos um pouco
Como caretas, mamãe.
Os homens que passam, perturbadores,
Sempre me deixam com meus sonhos
E minhas angústias de antes.
Os homens que passam, entretanto,
Como eu gostaria de roubar um
por um mês, por um ano.
Os homens que passam, mamãe,
Nunca me dão nada além de dinheiro.
Os homens que passam, mamãe...