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vendredi 23 avril 2021

France Gall - Résiste (Aos meus alunos e a minhas alunas)

 
 
Gilles CARON : Manifestations anticatholiques à Londonderry 1969
Crédits : Gilles Caron / Fondation Gilles Caron / Gamma Rapho
 
 
 

 Aos meus alunos e a minhas alunas:

Paroles

Si on t'organise une vie bien dirigée
Où tu t'oublieras vite
Si on te fait danser sur une musique sans âme
Comme un amour qu'on quitte
Si tu réalises que la vie n'est pas là
Que le matin tu te lèves
Sans savoir où tu vas
Résiste
Prouve que tu existes
Cherche ton bonheur partout, va
Refuse ce monde égoïste
Résiste
Suis ton cœur qui insiste
Ce monde n'est pas le tien, viens
Bats-toi, signe et persiste
Résiste
Tant de libertés pour si peu de bonheur
Est-ce que ça vaut la peine
Si on veut t'amener à renier tes erreurs
C'est pas pour ça qu'on t'aime
Si tu réalises que l'amour n'est pas là
Que le soir tu te couches
Sans aucun rêve en toi
Résiste
Prouve que tu existes
Cherche ton bonheur partout, va
Refuse ce monde égoïste
Résiste
Suis ton cœur qui insiste
Ce monde n'est pas le tien, viens
Bats-toi, signe et persiste
Résiste
Danse pour le début du monde
Danse pour tous ceux qui ont peur
Danse pour les milliers de cœurs
Qui ont droit au bonheur
Résiste
Résiste
Résiste
Résiste
Prouve que tu existes
Cherche ton bonheur partout, va
Refuse ce monde égoïste
Résiste
Suis ton cœur qui insiste
Ce monde n'est pas le tien, viens
Bats-toi, signe et persiste
Résiste
Résiste
Résiste

Paroliers : Michel Berger

jeudi 15 avril 2021

Oh ! Pardon tu dormais… Jane Birkin avec Étienne Daho

 
Vidéo-clip :
 
 

Paroles 


Oh ! Pardon, tu dormais
Je ne dors plus, tu vois bien
Le moment est parfait pour me dire si tu m'aimais
Si tu m'aimais encore 


Oh ! Pardon tu dormais
Ouais, tu m'as réveillé
T'aurais pu m'empêcher le mouvement de tes mains
Je n'aurais pas commencé, tu aurais dû me dire « Reste ! Je te garderai »

 
Oh ! Pardon, tu dormais
Je te sens énervée
Parfois, il me semblait que je t'aimais tellement fort
Que j'allais éclater en te voyant rentrer le soir
Oh ! Pardon
Oh ! Pardon, tu dormais ce soir 


Oh ! Pardon, tu dormais
Là, on va s'engueuler
Et moi, [je] courais vers toi comme dans tous ces films
Mais j'étais à ton cou et je restais figée
Et oui, ça tu le voyais 


Oh ! Pardon tu dormais
T'as fini de m'emmerder ?
Mais où donc est passée cette chose lumineuse en moi ?
Je voulais la passion qui empêche de penser
Et qui empêche d'être lucide 


Oh ! Pardon, tu dormais
Je sens que c'est terminé
Je te faisais la gueule parce que tu étais rentré
Sans même me dire bonsoir
Même pour un chien, on a des gestes 


Oh ! Pardon
Oh ! Pardon, tu dormais ce soir
Je veux dormir aux pieds de ton lit
Je suis un chien
Oh ! Pardon
Oh ! Pardon, tu dormais ce soir

vendredi 2 avril 2021

" [ne] tirez pas sur l'ambulance " de Françoise Hardy

 
 
 

Paroles :


C'est un pas grande chose
ça vous me l'avez dit
Et il est pas net, de ça aussi
C'est trop, faites une pause dans vos calomnies
Je plonge dans sa vie, j'oublie
Qu'il m'aime pas, même pas lui
Et qu'il me livre mes chagrins clé en main
Sur ses pas, je vois ma vie
Oh lâchez-moi, je m'enlise dans la mousse
J'ai pas besoin qu'on pousse


[ne] Tirez pas sur l'ambulance
Je suis déjà dans le trou
[ne] Tirez pas sur l'ambulance
Je suis presque à genoux


Dites-moi qui de vous n'a pas dit
Tout va très bien, merci
En attendant le retour de guerrier fatigué
Le plein d'excuses dans son café
Tirez pas sur l'ambulance
Je suis déjà dans le trou
Tirez pas sur l'ambulance
Je suis déjà dans le trou
Tirez pas sur l'ambulance
Je suis presque à genoux


Dites-moi qui de vous n'a pas dit
J'aime dormir seule la nuit
En attendant le retour de guerrier fatigué
Serré précoce sur l'oreiller

Tirez pas sur l'ambulance
Je suis déjà dans le trou
Tirez pas sur l'ambulance
Je suis presque à genoux
Tirez pas sur l'ambulance
Je suis déjà dans le trou
Tirez pas sur l'ambulance
Je suis presque à genoux

Traduction libre / tradução livre de Priscila Junglos


Não é uma grande coisa
isso você já me disse
E não está certo, isso também [você já disse]
É demais, faça uma pausa nas suas calúnias
Eu me afundo na vida, eu esqueço
Que ele não me ama, nem mesmo ele
E que ele me entrega minhas mágoas, chaves na mão
Em seus passos, eu vejo minha vida
Oh, deixe-me, eu escorrego na espuma
Eu não preciso que me empurrem


Não atire na ambulância
Eu já estou no buraco
Não atire na ambulância
Eu já estou quase de joelhos


Digam-me quem dentre vocês não disse
"Tudo vai bem, obrigada"
Esperando o retorno do guerreiro cansado
No [horário do] café cheio de desculpas

Digam-me quem dentre vocês não disse
"Eu gosto de dormir sozinha à noite"
Esperando o retorno do guerreiro cansado
Apertado precoce no travesseiro

Não atire na ambulância
Eu já estou no buraco
Não atire na ambulância
Eu já estou quase de joelhos

Não atire na ambulância
Eu já estou no buraco
Não atire na ambulância
Eu já estou quase de joelhos